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Anne de Green Gables, Lucy Maud Montgomery

Bonjour, aujourd’hui je vous parle de ce magnifique livre aux éditions « Monsieur Toussaint l’ouverture ». Regardez moi cette couverture, juste sublime (et encore vous ne voyez pas les reflets orangés somptueux!).

Je ne connaissais pas du tout ce best seller et suis ravie de m’y être plongée grâce à de nombreux retours que j’avais vu.

Un roman empreint d’émerveillements de part l’ écriture douce et poétique de Lucy Maud Montgomery mais surtout grâce au regard rempli d’ innocence d’Ann Shirley. Ann nous emmène avec elle découvrir ce monde enchanté qu’est Green Gables (j’adore la sonorité de ces 2 mots), je me suis attachée à cette petite fille lumineuse, curieuse de tout, très futée et faisant des bêtises (mais jamais sans méchancetés) qui a su sa faire aimer des gens qui l’entoure. Nous la voyons grandir et devenir une jeune femme pleine de volonté, toujours entourée de cette aura d’Amour qui malgré les épreuves la définit pleinement.

Vais je lire la suite? Je n’en sais rien car une fois adulte va t’elle perdre ce regard émerveillé? En tout cas ce fut une bonne lecture qui m’a fait voyagé à Green Gables.

Quatrième de couverture

Cheveux désespérément roux, visage constellé de taches de rousseur, Anne Shirley est une petite fille curieuse, pleine d’énergie, souvent perdue dans ses pensées, parfois d’une gravité solennelle, sans aucun doute intemporelle. Difficile de résister à ce petit bout d’humanité de onze ans parfaitement imparfait, héroïne d’une série de romans qui a su conquérir des millions de lecteurs à travers le monde, Anne de Green Gables, écrit par Lucy Maud Montgomery, et dont le premier tome parut en 1908. Orpheline à l’esprit vif, à l’imagination sans bornes et qui adore employer de « grands mots », Anne se retrouve par erreur chez Marilla et Matthew Cuthbert qui attendaient un garçon pour les aider à la ferme. Féministe involontaire, romantique impénitente, elle est impulsive, dramatique, maline, drôle, et telle une authentique naïve, elle va bousculer le calme et la monotonie de la vie à Green Gables, en semant partout joies et rêveries, en dénichant la beauté dans les moindres recoins, en ne s’exprimant qu’en points d’exclamation, même dans « les affres du désespoir ». Parce que l’existence d’Anne a aussi une face sombre, hantée par la mort de ses parents et les abandons, qui lui donne son énergie folle, parfois hallucinée, et qui rend son idéalisme et son indignation si poignants et si convaincants. Si le regard d’Anne transcende le monde sur lequel il se pose, Anne de Green Gables, c’est la transformation magique, presque mystique, que seul l’amour peut opérer sur les hommes et les femmes. C’est l’histoire d’une petite fille qui parvient à se faire aimer de tous (Josie Pye exceptée), et de nous les premiers.

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