Après un début un peu cahotique ( où j’ai eu du mal à comprendre les liens entre tous les personnages), j’ai apprécié ces histoires de vies qui se croisent, s’entrecoupent et se lient , à la fois belles, simples, douloureuses, elles nous livrent des témoignages de résilience et de tendres nostalgies. Les personnages sont attachants ( Ninny et Idgie particulièrement), les beignets de tomates vertes savoureux par tout l’amour et la bienveillance qui les façonnent. Tout simplement un beau roman qui pousse a nous remémorer notre propre Whiste Stop, lieu de nos souvenirs.
4ème de couverture:
» Le Whistle Stop Café était le foyer de tous ceux qui n’en avaient pas, c’était là qu’on se retrouvait tous, c’était là qu’était la vie. «
Evelyn Couch, femme au foyer
vivant mal l’approche de la cinquantaine, se rend chaque semaine dans
une maison de retraite où elle se lie d’amitié avec Ninny Threadgoode,
fringante octogénaire qui lui raconte ses fabuleuses histoires de
jeunesse. Nous voici alors en Alabama, dans les années 1930. Commence
alors l’aventure du Whistle Stop Café, bientôt connu de tous les
laissés-pour-compte du pays pour être le refuge idéal contre les
rigueurs de l’époque.
Peu à peu, les personnages de cette vivifiante
épopée deviennent pour Evelyn mieux que des amis : des modèles.
Rassérénée par le récit de la vieille dame, ode à la joie, à la
fraternité et à la résilience, notre héroïne reprend le dessus sur sa
vie. Suivant les conseils de Ninny, elle va enfin pouvoir se confronter à
ses peurs et retrouver le goût du bonheur.
Une chronique nostalgique et tendre, généreuse et colorée, pleine de saveur et d’humour.
» Une histoire drôle, généreuse et poignante «
Harper Lee