Quel polar!! Habituellement, je n’en lis pas beaucoup, et encore moins lorsque les victimes sont des enfants mais le résumé et toutes les éloges lues m’ont donné envie. Je ne suis pas déçue . Lu très rapidement Tout y est!! L’ intrigue est très bien ficelée, les 2 personnages principaux sont formidables. Bud me mettait mal à l’aise au début mais au fil du livre, on le découvre et on finit par l’apprécier. Quant à Adela, quelle femme!! Leur duo improbable fonctionne. Le lieu , l’époque ( j’ai apprécié les nombreuses références historiques) et tout les personnages secondaires mettent en lumière le roman et renforcent la force du polar. Aucun détails n est en trop, aucun passage long. J’ai adoré.
Présentation de l’éditeur
Meurtres en Alabama.
Birmingham, Alabama, 1963. Le corps sans vie d’une fillette noire est retrouvé. La police s’en préoccupe de loin. Mais voilà que d’autres petites filles noires disparaissent…
Bud Larkin, détective privé bougon, alcoolique et raciste, accepte d’enquêter pour le père de la première victime.
Adela Cobb, femme de ménage noire, jeune veuve et mère de famille, s’interroge : » Les petites filles, ça disparaît pas comme ça… «
Deux êtres que tout oppose. A priori.
Sous des airs de polar américain, Alabama 1963 est avant tout une plongée captivante dans les États-Unis des années 1960, sur fond de ségrégation, de Ku Klux Klan et d’assassinat de Kennedy.